Interrompre la journée par une pause-café ... voilà une habitude à laquelle personne ne saurait renoncer... C'est encore plus agréable et plus pratique si l'on dispose d'un petit terrier douillé celui du LAPIN BLANC.

Nouvelles, un poèmes, un extraits de livres, créations personnelles ou Bric & Brac, petits trucs qu'on peut trouver un peu partout sur le Oueb ou entendre dans la vie de tous les jours.

Je reste à votre écoute pour vos demandes, corrections, recommandations ou commentaires .

Avec le LAPIN BLANC laissez vous bercer et voyagez le temps d'un clique à travers les délires les plus farfelus mon cerveau rêveur.

Je vous souhaite une agréable lecture.

Fabrice Luchini








" Fabrice a besoin de faire le don de lui-même. Et le don de lui-même passe à travers des textes. Ce don est pour nous. C'est un phénomène qui dépasse le théâtre proprement dit. Piaf, par exemple, avait la même fatalité dans le don. Lui, comme elle, est un personnage très exalté, mais cette exaltation est hautement enrichissante, alors que chez bien d'autres, elle est encombrante. (…) Il a une telle richesse, une telle "réinvention", une imagination rebondissante si extraordinaire. Il y a chez lui comme un envahissement de l'être par le verbe. Il se renvoie au verbe et le verbe renvoie vers nous. "Il est infatigable."

Laurent Terzieff


" C’est immense le problème du couple ! Le couple dans le mauvais côté c’est pour se fuir soi. C'est-à-dire, l’individu totalement incomplet cherche dans l’autre la complétude. C'est-à-dire en gros un couple c’est deux individus pas finis qui inventent un troisième individu qui est le couple. Alors ils ne savent pas qui ils sont, mais ils sont quelqu’un, puisqu’ils sont le couple."

Fabrice Luchini, Vie privée vie publique, France 3, 10 juillet 2007





"Je voudrais des relations qui n’emprisonnent pas. Quand je suis joyeux, j’ai une sexualité libertine sans immoralité. Je ne suis pas tellement monogame. Je trouve que c’est une impasse."


Fabrice Luchini Le Parisien (20 août 2008)


" Dans un monde sans femmes, on serait tous à comparer nos attributs inutiles et à se demander lequel de nous pissera le plus loin."



 Fabrice Luchini



Ce texte est une retranscription partielle de la vidéo ci dessous, écoutez son interprétation :  

"Mort à crédit, nous voici encore seul,tout cela est si lent,si lourd,si triste, bientôt je serai vieux et ça sera enfin fini,il est venu tant de monde dans ma chambre,ils ont dit des choses,ils ont pas dit grand chose,ils sont partis,ils sont devenu vieux,misérables et lents, chacun dans un coin du Monde. 
Hier à 8HOO Madame Bérange la concierge  est morte.Une grande tempête s'élève de la nuit,tout en haut nous sommes, la maison tremble,nous ses fidèles gentils et amis,demain on l'enterre rue des Saules,elle était vraiment vieille,tout au bout de la vieillesse.


Je lui ai dis dès le premier jour quand elle a toussé, ne vous allongez pas surtout,restez assise dans votre lit.Je me méfiai.Et puis voilà.Et puis tant pis."



1 commentaire:

Unknown a dit…

Luchini je pourrais l'écouter pendant des heures...