Interrompre la journée par une pause-café ... voilà une habitude à laquelle personne ne saurait renoncer... C'est encore plus agréable et plus pratique si l'on dispose d'un petit terrier douillé celui du LAPIN BLANC.

Nouvelles, un poèmes, un extraits de livres, créations personnelles ou Bric & Brac, petits trucs qu'on peut trouver un peu partout sur le Oueb ou entendre dans la vie de tous les jours.

Je reste à votre écoute pour vos demandes, corrections, recommandations ou commentaires .

Avec le LAPIN BLANC laissez vous bercer et voyagez le temps d'un clique à travers les délires les plus farfelus mon cerveau rêveur.

Je vous souhaite une agréable lecture.

Somerset Maugham




On somnolait chez nous, comme ça

Dans notre jungle, le calme plat
Il a déboulé dans l'soir
En disant: "Mes malles
Sont encore au port"

Moi j'étais largué, classé
Elle était bouche bée
Et lui, c'était Robert Taylor

Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham

Ils sont faits pour deux, ces bambous                                        
Trois là-d'dans, ça va plus du tout

Il avait gagné la cup
Fumé navy cut
Claqué les tirelires

Quand elle enlevait sa main de ma main
Ses yeux de mes yeux
Ça me faisait souffrir

Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham

Je voudrais qu'il s'en aille, de quoi j'ai l'air
Avec mes détails, mes haltères

Il portait des lions sur le dos
Pour elle comme cadeau
Ça salissait tout
Moi je me sentais vieillot, fidèle
Propriétaire d'elle
Malheureux comme tout

Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham

Les capitaines beaux, lâchez-moi
Les femmes sont sensibles à tout ça
Laissez-nous tranquilles baskets
Chocolat noisette
Sur notre canapé
Allez, Somerset, ailleurs
Casser les autres cœurs
Des autres fiancés

Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham

Comme dans ces nouvelles pour dames
De Somerset Maugham

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