" Marilyn ta bouche, s’entrouvre,
Fiévreusement je touche,
Fiévreusement je touche,
le velours de tes dents
Je suis minuscule, tu es vertigineuse
Ta langue m’enlace, m’aspire goulûment
Quand je m’abandonne à la délicieuse
Le canapé rougit,
Je suis minuscule, tu es vertigineuse
Ta langue m’enlace, m’aspire goulûment
Quand je m’abandonne à la délicieuse
Le canapé rougit,
devient véhément "
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