Le poète, tributaire de la Création.
Doux bruissement du vent qui glace la rosée
Aurore intriguée
Journées ensoleillées où le ciel azur prospère
Crépuscule solitaire.
Et finalement, qui saisit au mieux le mal du Poète,
Si éloigné du monde de concert courtois et prosaïque,
Que la grande prêtresse Nature, témoin du passage des ancêtres,
S’attachant à faire glisser au chantre, sa plume lyrique.
Pooky
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